5 bonnes raisons de détester le départ d'Erik Cole#1 Erik Cole est moderneDans l'espoir de regarnir l'image de son équipe, Canadien a misé sur des joueurs comme PK "swag" Subban et Carey "fresh" Price et tout récemment sur Alex "hot sistah" Galchenyuk et Brendan "jackass" Gallagher. On voit tout de suite que Canadien tombe dans une conception très erronées de son groupe de partisan et de la génération Y. Que d'idées préconçues qui prouve à quel point Canadien a de la difficulté à rencontrer son public jeune. Le rôle de Canadien a toujours été de réguler les mouvements sociaux québécois (Maurice Richard et la Révolution Tranquille), mais dans une période où les étudiants agressent des
policiers Iron Man avec des boules de neige, la fonction de l'organisation est celle de détourner l'attention de ces jeunes sur quelque chose de plus important que leur avenir professionnel et financier : le sort de Canadien. Erik Cole textait, il était moderne. Canadien s'en est débarrassé. Le Québec plonge directement vers le communisme.
#2 Victime d'intimidationL'intimidation est un sujet chaud au Québec et dans le monde entier et le fait qu'encore en 2013, Canadien est passif dans ce dossier est aberrant. Une campagne de salissage envers l'américain de 37 ans avait été amorcée lorsque celui-ci avait déclaré avoir peut-être envie de prendre sa retraite en raison de la nouvelle convention collective. Un maudit syndicaliste sal qui lançait carrément un cri du cœur : il souffrait en silence et cherchait désespérément de l'aide. Qu'à fait Canadien? Rien, c'était un lock-out criss, y pouvait rien faire. Mais qu'on fait RDS? Oh, ils ont été patients... Progressivement et subliminalement, ils rendaient Erik Cole de moins en moins aimés chez les partisans. Le tout a été couronné par la pub en français d'Erik Cole, une pub où la voix de Cole était efféminée en tabarnak. Rouge de honte, Canadien l'a échangé. Ne sommes nous pas une société moderne où nous acceptons les différences et où l'identité du genre ne devraient plus servir de catégorisation et d'outil d'intimidation? Enh?
#3 Deux fois quatre lettresHal Gill, Paul Mara, Jean-Philippe Côté, Brendan Nash... Est-ce que Marc Bergevin est raciste envers les joueurs qui ont quatre lettres dans leur nom? Je vous ai nommé nombre illimité de joueurs de 4 lettres qui ont marqué l'imaginaire collectif des partisans du Canadien de Montréal. Erik Cole, il avait non seulement un nom de famille de 4 lettres, mais aussi UN PRÉNOM de 4 lettres. La combinaison était... oh mon Dieu, incroyable!! On ne pouvait pas espérer mieux! Mais non, la haine inexpliquée de Bergevin envers cette composition quadrilaire des patronyme fait en sorte qu'Erik Cole était comme Darth Vader aux yeux du DG du Canadien. J'en ai mal... très mal. Intolérance, quand tu m'appelles.
#4 Il divisait le vestiaireLe monde s'haït la face, c'est connu. Dans une société capitaliste où l'intérêt individuel règne et où l'accomplissement personnel est plus important que l'accomplissement collectif, le fait qu'Erik Cole divisait le vestiaire du Tricolore était un avantage net et indéniable en comparaison à des gars rassembleurs comme Andrei Markov. Essayez de faire un projet d'équipe pour l'école à 23? C'est pas facile, hein? Bin, c'est exactement ce qui va se passer là. Canadien se donne comme projet de gagner la Coupe Stanley... à 23 joueurs!!! Oubliez ça! Je vous le dis en exclusivité, ici, le 27 février, Canadien ne gagnera pas la Coupe cette année! En divisant le vestiaire, chaque joueur joue pour lui-même, dans un intérêt personnel et joue donc mieux. De toute façon, qui voudrait jouer pour une organisation qui l'a privé de salaire pour empocher quelques centaines de millions de dollar de plus que les milliards qu'elle possède déjà? Collectivement, on arrive à de meilleurs résultats si tout le monde joue pour lui-même que si tout le monde joue pour le collectif. C'est viscéral.
#5 Le retour de RyderMichael "tête de fer" Ryder, le newfie, le sal qui nous a ditché pour Boston, même si on ne lui avait pas offert de contrat. Celui qui a osé faire un arrêt quand c'est même pas sa job. Celui qui scorait des saisons de 30 buts à Montréal avec juste des buts dans des filets déserts. C'était nos poubelles et on va les rechercher. Canadien est un vidangeur qui ramasse ses propres poubelles. Ça fait pitié. Un roux en plus. Pffff.... Et après ça, ils se plaignent que l'équipe n'a pas d'âme.
Mer 27 Fév - 14:33 par Jo