Brian Burke n'aime pas qu'on lui parle de sa job(Photo : Zimbio) Brian Burke est fâché.Brian Burke est à prendre avec des pincettes dernièrement, surtout lorsqu'on lui parle de sa job. Un journaliste du Nationnal Post, John Moore, l'a appris à ses dépens alors qu'
il s'est fait raccroché la ligne au nez par l'homme à la peau de fleur. Celui-ci n'a pas apprécié le fait qu'on lui demande s'il craignait pour son emploi. Voici la traduction de cette partie de l'entrevue :
- Citation :
- Q: Une dernière question pour vous, Brian Burke. Le changement d'entraîneur est toujours une option, mais plusieurs personnes d'un panel (Note: oui, c'est un mot accepté en français...) dont j'étais l'hôte, ce week-end, ont dit que c'était le temps de changer de directeur général. (Note: ce n'est pas une question, mais criss, c'est pas moi qui a fait l'entrevue)
Burke: Je n'ai jamais entendu ça. Et je ne sais pas quel panel tu animes. Cette décision appartient au propriétaire. J'aurais aimé que tu me dises avant de faire l'entrevue que ceci aurait été la dernière question de l'entrevue, un bon petit "cheap shot" avant d'allez hors d'ondes.
Q: Je vous donne la chance d'y répondre.
Burke: La décision appartient au propriétaire lorsque le DG est changé. Mais j'aurais aimé que tu m'en parles hors des ondes avant, tu étais pour prendre un petit élan en t'en allant (Note: traduction merdique, je sais). Mais on dirait que c'est ce que les personne de ta profession font.
Q: Brian Burke, je ne prend pas d'élan. La possibilité qu'un directeur général soit changé lorsqu'une équipe ne performe pas bien est toujours là. Donc, je vous demande si vous avez le sentiment d'être près de la porte.
Burke: Non, je ne le sens pas. Et je crois que c'est une question ignorante, et une lâche aussi.
Et il a raccroché.
Quand même drôle de voir Brian Burke agir ainsi, alors qu'en quelque part, il le chercher. De tous les DGs de la LNH, c'est probablement le plus show-off, il parle fort, il est toujours devant les caméras, il donne toujours des entrevues et même lors de la date limite des transactions, il a une webcam dans son bureau. En quelque part, c'est un peu normal que des questions embarrassantes surviennent et ta job, en tant que show-man, c'est d'y répondre en calmant les ardeurs et non pas de laisser voir que le journaliste a touché une corde sensible. Il traite un journaliste de "gutless" pour la question la plus "gutful" qu'on peut poser à Burke en ce moment.
Bref, Brian Burke, il aime bien être sous les feux de la rampe, mais il est prêt à agir en trou de cul avec ceux qui l'éclaire.
PS = Je trouve la question cabochon moi aussi.
PPS = Jason Brough (ça se prononce Jason Bruff, si je me fit à se page sur NBC Sports -
http://prohockeytalk.nbcsports.com/author/jasonbruff/), ça me dit de quoi ce nom-là... Il n'avait pas fait un con de lui un jour? Si ça sonne la cloche de quelqu'un, faites-moi signe.
*Ce billet est sponsorisé par les expressions. Les expressions, figurez-vous donc que c'est une façon de parler!*
Mar 6 Mar - 18:06 par Vallycalogy Kazooie